Ardoise répond aux besoins des publications et de l’édition. Il répond également aux besoins d’un caractère de titrage destiné à la presse écrite, avec ses faibles contrastes, ses formes franches, à l’instar du Franklin Gothic auquel on peut le comparer. Les alignements et les proportions verticales de l’Ardoise sont calibrées afin d’optimiser leur usage avec d’autres familles Typofonderie.

Quatre chasses pour répondre à toutes les situations

L’Ardoise, s’il s’inspire du meilleur des caractères de presse, renouvelle le goût pour des formes simples et tendues. L’Ardoise et ses 45 séries pourraient être considérés comme un hommage à l’Antique Olive, mais de manière imprévue, fruit de l’admiration de longue date que son auteur voue à Roger Excoffon. L’Ardoise, en effet, possède une pureté de dessin et une dynamique qui lui confèrent une élégance singulière tout en faisant preuve d’une excellente lisibilité. Sa grande robustesse l’installant quasiment à l’abri de la déformation. Chaque fonte dispose d’un jeu de glyphes qui couvre la plupart des langues latines, tous les aspects des besoins typographiques tels petites capitales, divers types de chiffres, dingbats, etc. Par surcroît, des variantes de glyphes (a, c, g, l) peuvent enrichir l’image d’un texte composé.

• Lancement de l’Ardoise